• Il y a deux semaines nous attirions l'attention de nos sympathisants sur le fait que des connections provenant des domaines .gov (gouvernement US) et .mil (US défense) apparaissait dans nos stats, dès cette annonce .gov a cessé de se connecter, .mil en revanche à continué jusque hier soir ou il à été relayé par .arpa.

    Le .mil (militaire) de la défense américaine a disparu pour laisser sa place a .arpa.




    Le contrôle du net il est temps que les citoyens s'y intéresse.


    ch Suisse 7 21.21% 21.21%
    .ca Canada 6 18.18% 18.18%
    .nl Pays Bas 6 18.18% 18.18%
    .arpa - 3 9.09% 9.09%
    .at Autriche 2 6.06% 6.06%
    .cz Tchéque, République 2 6.06% 6.06%
    .pt Portugal 2 6.06% 6.06%
    .au Australie 1 3.03% 3.03%
    .cn Chine 1 3.03% 3.03%
    .lu Luxembourg 1 3.03% 3.03%
    .pf Polynésie Française 1 3.03% 3.03%
    .hu Hongrie




    le domaine .arpa

    Le fait que le domaine ".arpa" est perçu comme étant contrôlé par des entités établies aux Etats-Unis (soit l'ICANN par l'intermédiaire de l'IANA, soit l'IAB par l'intermédiaire de l'ISOC) suscite un certain nombre de sérieuses préoccupations concernant la mise en oeuvre du protocole ENUM.
    On pourrait atténuer le problème en acceptant officiellement que l'UIT-T assume en la matière un certain rôle, à débattre et à arrêter, au niveau du contrôle officiel du domaine ".arpa" et de ses sous-domaines, en particulier "e.164.arpa": on pourrait ainsi envisager d'établir sous une forme ou sous une autre des assurances formelles garantissant que les entités concernées ne pourraient pas prendre unilatéralement des mesures considérées comme incompatibles avec les principes de souveraineté nationale.
    De telles assurances pourraient être données sous forme d'un échange de lettres entre l'ICANN et le TSB, ou sous forme d'une Recommandation de l'UIT-T que l'ICANN pourrait ensuite approuver et adopter formellement. Le mieux serait que l'ICANN elle-même prenne l'initiative de l'élaboration d'une telle Recommandation.





    Comment fonctionne l'ICANN ?
    Dans la structure de l'ICANN, les gouvernements et les organisations de traité international travaillent en partenariat avec les entreprises, les organisations et les spécialistes qui contribuent à bâtir et maintenir le réseau mondial Internet. L'innovation et la croissance continue d'Internet présentent de nouveaux défis pour préserver la stabilité. Ensemble, les membres de l'ICANN se penchent sur les questions qui concernent directement la mission de coordination technique de l'ICANN. Conformément au principe d'autoréglementation maximale dans l'économie de haute technologie, l'ICANN est probablement le plus bel exemple de collaboration entre les membres de la communauté Internet.
    L'ICANN est gouvernée par un conseil d'administration de composition internationale qui supervise le processus d'élaboration des politiques. Le président de l'ICANN dirige une équipe internationale qui veille à ce que l'ICANN honore ses engagements opérationnels à l'égard de la communauté Internet.
    Conçu pour répondre aux besoins des technologies et des économies en évolution rapide, le processus d'élaboration des politiques est un mécanisme souple et rapidement mis en oeuvre par les trois Organisations de Soutien. Les comités consultatifs représentant les organisations d'internautes et les communautés techniques travaillent avec les Organisations de Soutien pour définir des politiques appropriées et efficaces. Plus de quatre-vingt gouvernements sont en consultation étroite avec le Conseil d'administration par le biais du Comité Consultatif Gouvernemental.


    L'IANA - PRÉSENTATION Créé au début des années 1990, l'IANA (Internet Assigned Numbers Authority) a pour objectif principal de « préserver les fonctions de coordination centrale de l'Internet dans l'intérêt de la communauté ». Si ses missions sont aujourd'hui plus réduites, l'IANA (http://www.iana.org/) reste un organisme historique essentiel de l'Internet. Au moment de son lancement, personne ne pouvait prévoir le formidable développement qu'allait connaître le Net. Les chercheurs et scientifiques qui s'intéressaient de près au réseau ne jugeaient pas encore nécessaire la mise en place d'une régulation globale du fonctionnement de l'Internet. Puis, la progression fulgurante du Web – avec la naissance de l'hypertexte et du premier grand navigateur Mosaic – a considérablement modifié la donne. C'est dans ce contexte particulier qu'est apparu l'IANA, le premier organisme chargé de la gestion des noms de domaine. Créé par John Postel – un des créateurs d'ARPANET (Advanced Research Projects Agency Network), ancêtre de l'Internet –, l'IANA servait d'interface entre les adresses IP et les noms de domaine tout en gérant les extensions de domaine génériques (.com, .org et .net notamment) et les différentes classes d'adresses IP (Internet Protocol). Toutefois, la rapidité du développement de l'Internet va rapidement révéler les limites de l'IANA face aux nouveaux enjeux. C'est ainsi qu'en 1998 est créé un nouvel organisme. Il s'agit de l'ICANN (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers) qui correspond à une réforme globale de l'attribution des adresses et des noms de domaines sur l'Internet. L'ICANN – né d'un accord entre le gouvernement américain et des organismes de l'Internet – va alors reprendre à son compte un certain nombre de missions de l'IANA. A tel point que l'on ne parle plus aujourd'hui de l'organisme IANA mais plutôt de la fonction IANA, celle-ci faisant désormais partie intégrante de l'ICANN. Aujourd'hui, l'IANA continue notamment à maintenir sur son site la base relative aux ccTLD (http://www.iana.org/cctld/cctld-whois.htm). |cc| Fabrice Molinaro – octobre 2005 Voir aussi : Fiches sur l'IAB, l'IESG, l'IETF,l'IRTF et l'ISOC, ainsi que, pour le rôle de l'ICANN, Les noms de domaine génériques. Téléchargé sur www.defidoc.com :: Généré par FPDF www.fpdf.org :: http://www.defidoc.com/internet_intranet/IANA.htm Page 1/1

    L'IAB France
    Qu'est-ce que l'IAB ?





    L'IAB (Interactive Advertising Bureau) est une association créée en 1998 dont la mission est triple :



    - structurer le marché de la communication sur Internet ;
    - favoriser son usage ;
    - optimiser son efficacité.
    L'IAB est d'une part, au service des annonceurs et de leurs agences conseil pour les aider à intégrer Internet efficacement dans leur stratégie de marketing globale et, d'autre part, entend proposer des standards, des exemples de pratiques professionnelles aux nouveaux acteurs intégrant le marché des médias sur Internet.
    L'IAB, c'est par ailleurs un réseau d'experts au service des autres organisations professionnelles, des institutions et des médias qui s'interrogent sur l'impact du développement de cette nouvelle donne économique.
    L'IAB compte à ce jour 70 sociétés membres.


    22 commentaires



  • Palmarès Ademe 2005 des émissions de CO2 des voitures :
    Les constructeurs autos n'ont qu'une parole... la leur !

    Paris, le 06 avril 2005 : A la lecture des chiffres des émissions de CO2 rejetées par les véhicules particuliers, présentées par l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie, Agir pour l'Environnement et le Réseau Action Climat constatent avec amertume une stabilité des rejets de gaz à effet de serre, principalement due à l'inaction du gouvernement.

    Agir pour l'Environnement et le Réseau Action Climat déplorent que les émissions moyennes des véhicules vendues en France en 2004 se maintiennent à 154 grammes de CO2 par kilomètre parcouru (contre 156 CO2 g/km en 2001), alors que l'accord volontaire ACEA signé par les constructeurs automobiles européens se fixent pour objectif 140 CO2 g/km d'ici 2008.

    L'accord ACEA ne sera donc pas respecté, laissant supposer que la parole des constructeurs automobiles n'engage que celles et ceux qui y croient ! Face au double discours des constructeurs automobiles, les associations dénoncent l'absence du Gouvernement qui adopte un laisser-faire à mille lieux des discours emphatiques tenus sur le dérèglement climatique (Bonus/Malus enterré, étiquetage Energie reporté à un hypothétique accord européen, bridage et limitation des vitesses écartés arbitrairement du Plan Climat.).

    Ce manque d'ambition politique permet ainsi à la plupart des constructeurs automobiles de mettre en vente des véhicules extrêmement polluants, dont la plus part sont des 4x4. C'est ainsi les 4 véhicules diesels les plus polluants sont tous des véhicules à quatre roues motrices. Selon l'Ademe, ces véhicules consomment en moyenne 32% de carburant de plus en cycle urbain et rejettent 80 grammes de CO2 par kilomètre parcouru de plus qu'un véhicule moyen.

    Les associations remettront  palme d'or du Prix TUVALU du dérèglement climatique à Volkswagen pour son 4x4 Touareg, rejetant 346 grammes de CO2 et consommant en cycle urbain 17,9 litres aux 100 kilomètres.

    2 commentaires



  • 22 commentaires






  • Dans son numéro d'octobre 2004, Science & Vie Junior a pondu un excellent dossier (.pdf) sur les dangers des automobiles et des 4x4

    source :
    http://flagadas.blogg.org/

    49 commentaires
  • 6