• Libérez les enfants !



    10/01/2006

    Objet: attaque massive des magasins adepte du système Nike
    La revanche des salles gosses !

    retournement de situation qui assure une nouvelle intensité ou un nouveau pouvoir d'action (à quelque chose ou à quelqu'un)
    la revanche de la raison sur l'obscurantisme

    En France un groupe de citoyens responsables à décidé de passer à l'action en combattant ce système. Ces attaques appelées "la revanche des sales gosses" consistent à infliger des coups financiers aux enseignes adaptes du système de la sous-traitance aveugle. A compter du 11 Janvier 2006 des boules puantes seront massivement déversées dans quelques magasins ciblés aux heures de pointe.

    Nike, Reebook, GAP ou H&M... et d'autres dans le textile, l'habillement, mais aussi dans le jouet, le tapis, la chaussure et le cuir, fonctionnent tous selon le même modèle : le système Nike.

    Ce système consiste à réduire l'entreprise à un siège social organisant la sous-traitance de la fabrication. Nike n'a pas d'usines. D'Indonésie au Pakistan, en passant par l'Inde, Sri Lanka, le Bangladesh et la Thaïlande, les représentants de ces multinationales recherchent l'entreprise, souvent artisanale ou parfois même constituée pour l'occasion, qui offrira le meilleur prix pour la fabrication d'un lot déterminé de marchandises pré-vendues sur le marché des pays riches. A l'autre bout de la chaîne il y a les enfants, mais aussi les femmes esclaves. Comme, par exemple, au Pakistan, où sont fabriqués à la main la plupart des ballons de football de la planète. Des milliers d'enfants travaillent pour presque rien, les ballons étant payé l'équivalent de 3,75 F l'unité à leur patron. Les dizaines de millions d'enfants, au travail, que ce soit en Asie, mais aussi en Amérique Latine, où le système Nike se développe, viennent de familles les plus démunies. Si le système Nike se développe c'est grâce à une chaîne de complicité - volontaires ou non - allant du "client" jusqu'au patron esclavagiste. Entre les deux, le sous développement , mais aussi les gouvernements qui ont leur part de responsabilité. Le Bureau International du Travail (BIT), après de long débats, a décidé d'encourager la syndicalisation des enfants. Loin de soutenir le système d'exploitation infantile, ceci constitue le premier d'une longue marche vers le retour des enfants à l'école. Les "entreprises" comme Nike s'en sont déjà rendu compte. De plus en plus elles pratiquent le "saut de puce" en transférant leurs contrats dès qu'apparaît un signe de revendication... Un jour peut-être le saut de puce ne sera plus possible.

    Les consommateurs ont des droit, les citoyens des devoirs !
    Cette action est la dernière création du laboratoire mouvement spontané. Contact sous-adjudant-marrant@no-log.org
    http://liberezlesenfants.blogspot.com/

  • Commentaires

    1
    Gérard Lambert
    Mercredi 11 Janvier 2006 à 08:30
    pfff
    C'est bien ce que je pensais, après les pubs et les 4x4, vous cherchez encore (et uniquement pour ça) à faire parler de vos misérables petites vies de bobos frustrés ! Toujours les mêmes arguments à deux balles et les mêmes amalgames réducteurs !
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    2
    WhilelM
    Mercredi 11 Janvier 2006 à 15:52
    très bien, développons
    Salut Gérard, Ce qui serait intéressant, c'est que tu développes et expliques en quoi ces arguments sont nuls et où sont les amalgames pour mettre en défaut ce genre de contribution.
    3
    karima
    Jeudi 14 Septembre 2006 à 08:54
    c'est grave!!!!!!!!!!!!!!!!!
    rendre esclave des enfants, des femmes ou même des famille entier c'est inconsevable c'est le retour au moyenne age ou quoi...............stop
    4
    circo
    Jeudi 14 Septembre 2006 à 11:44
    ONF
    o gros kon de l ONF ki vire les gens a pied des bois et foret de meuse et manu militarie pourkoi????? on c pas moi voudrer bien savoir.....
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